Née en 1926 en tant que ville de compagnie destinée à attirer la main-d'œuvre pour la plus grande aluminerie au monde, Arvida a fait l’objet d’un développement urbanistique visionnaire aux qualités qui ont rendu le quartier vivant et apprécié jusqu’à aujourd’hui.
Voici les 10 premières déclarations d’amour. Abonnez-vous pour ne pas rater les suivantes!
Découvrez les souvenirs et regards actuels de résidents passionnés sur ce quartier exceptionnel de Saguenay. 15 arvidiens évoquent de façon intime un endroit chéri d’Arvida, lieu qui bénéficie de l’éclairage historique de l’historien Alex Hubert.
Bruno Fradette est un passionné d’Arvida, un vrai de vrai. Né ici même, il est retraité de Rio Tinto -anciennement Alcan - après 40 ans de service. Son grand-père et son père ont travaillé eux aussi dans cette usine. Il continue d’entretenir sa relation amoureuse avec Arvida en s’impliquant au Centre d’histoire Arvida et en donnant des conférences sur l’histoire de sa ville et de l’usine. Alex Hubert, historien et muséologue au Centre d’histoire d’Arvida, nous raconte dans cet épisode les débuts de l’usine d’aluminium d’Arvida, indissociable de la destinée de la ville.
Pour tomber en amour avec Arvida, pas besoin d’y être né. Sa beauté a fait le tour du monde depuis sa création. Dans cet épisode, nous allons à la rencontre d’un couple d’Arvidiens d’adoption, Marjorie Fortin et David Paris, tombés sous le charme de la beauté des résidences et du quartier. Ils habitent une maison du secteur patrimonial qu’ils ont rénovée avec soin. Alex Hubert, historien et muséologue, nous raconte la création de ce quartier dans les débuts de la ville de compagnie, au milieu des années 20.
Certains arvidiens et arvidiennes ont un amour fou pour Arvida. C’est le cas de Marianne-Salesse-Côté qui a décidé de propager sa passion pour cette ville mythique et qui travaille maintenant au Centre d’Histoire Arvida. Alex Hubert, historien et muséologue, nous raconte l’histoire de l’Église Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus, un bâtiment patrimonial au cœur d’Arvida.
Depuis sa naissance, Carl Dufour, conseiller municipal du secteur Arvida à la Ville de Saguenay, fréquente tous les recoins de ce quartier riche en histoire. ll nous dévoile tout le travail réalisé afin de faire reconnaître Arvida au patrimoine mondial de l’UNESCO ainsi que son attachement à l’école Notre-Dame-du-Sourire. Alex Hubert, historien et muséologue, nous rejoint près du bâtiment afin de nous raconter son histoire.
Le prestigieux Manoir du Saguenay, qui allie la tradition des bâtiments de la Nouvelle-France à la modernité de son toit en aluminium, a rythmé les mariages et réceptions des résidants d’Arvida. Son dernier chef nous raconte avec entrain le souvenir intact de son arrivée à Arvida et ses 15 ans passés dans les cuisines de cet édifice emblématique. Le spécialiste de l’histoire d’Arvida Alex Hubert nous présente les origines de ce bâtiment unique.
Pour l’homme de radio Mark Dickey, “il existe deux types de Saguenéens : ceux qui habitent à Arvida et ceux qui voudraient habiter à Arvida.” Inutile de dire que Mark est fier de son quartier! Il nous explique son attachement pour Arvida et les raisons pour lesquelles cette cité se distingue. Nous le rencontrons près des sentiers du Manoir du Saguenay où il aime se promener et recharger ses batteries. Alex Hubert, historien, nous raconte les débuts et la création des sentiers du Manoir.
Fanny Marin est une très grande amoureuse d’Arvida, et cet amour a des racines profondes : ses ancêtres ont vendu leurs terres à Arthur Vining Davis, président de l’Alcan qui en fait Arvida. L’industriel la fascine : un visionnaire soucieux d’améliorer les conditions de vie des travailleurs. Arvida la passionne : selon elle, le quartier est infini. Plus on s’intéresse à Arvida, plus on apprend. Elle nous a donné rendez-vous à la magnifique Bibliothèque d’Arvida, un lieu qu’elle affectionne particulièrement et qu’elle fréquente très régulièrement. Alex Hubert, historien et muséologue, nous raconte l’histoire de la Bibliothèque d’Arvida dans cet épisode.
Claude Guay a cofondé le club des ambassadeurs d’Arvida dans le but de faire rayonner et reconnaître la cité de l’aluminium au-delà de nos frontières. On retrouve cet homme d’affaires et grand collectionneur dans son entrepôt où il conserve de nombreux artéfacts du passé et où il garde bien vivante la mémoire d’Arvida. Alex Hubert, historien, nous raconte l’histoire des panneaux “Bienvenue à Arvida”.
Jennifer Brassard, citoyenne et femme d’affaires arvidienne, nous parle de son enfance et de sa flamme pour le quartier patrimonial Sainte-Thérèse d’Arvida. L’entreprise familiale qu’elle dirige a pignon sur rue depuis plus de 45 ans au Carré Davis, centre-ville commercial d’Arvida. Dans cet épisode, elle nous partage ses souvenirs de ce secteur qui réunit une communauté qui se distingue et qu’elle affectionne. L’historien Alex Hubert nous raconte l’histoire du Carré Davis.
Fier représentant de la communauté anglophone et internationale d’Arvida, Terry Loucks est un ambassadeur enthousiaste et rassembleur. Malgré son exode, il revient souvent dans le quartier de son enfance qu’il nomme avec affection le « Golden aluminium mile ». De son initiative, il a déjà planté une trentaine d’arbres près de l’école Riverside afin de verdir Arvida pour les générations futures. Alex Hubert, historien et muséologue, nous parle des institutions de la communauté anglaise historique du secteur, créées et planifiées dès la fondation de la cité d’Arvida pour attirer une main d'œuvre qualifiée internationale.
Amoureux et défenseur du patrimoine moderne, Sylvain Gaudreault a représenté les citoyens d’Arvida à titre de député provincial. Il a choisi de vivre dans « l’autre » Arvida, un des quartiers développés après le cœur historique dans les années 50 et 60.
Dans cet épisode, Alex Hubert, historien et muséologue au Centre d’histoire d’Arvida, nous raconte l’histoire de l’église Saint-Mathias, un joyau de l’architecture moderne de la cité de l’aluminium.
Charles Boivin possède la brasserie Arvida, lieu de rencontre de plusieurs générations d’ouvriers de l’Alcan situé dans le carré Davis, le centre-ville de la cité de l’aluminium. Cet arvidien d’adoption est un mordu d’Arvida. À son échelle de citoyen, il fait son maximum pour préserver la mémoire de la ville en documentant et en collectionnant tout type d’artefacts qui l'évoquent. Son plus grand rêve : qu’Arvida soit reconnue par l’UNESCO.
Arvida fait partie de l’ADN de Stéphanie Gagné. Née dans la cité de l’aluminium, ses racines sont profondes. Elle a habité dans presque tous ses quartiers. « Arvida, c’est un cocon! ». Lorsqu’est venu le temps de choisir le lieu pour fonder sa famille et déménager son entreprise, un seul choix était possible: Arvida. À la tête des Films de la Baie, elle travaille à faire découvrir les quartiers moins connus d’Arvida et à conserver la mémoire collective. Elle revient sur les lieux de son adolescence, dont le Pont d’aluminium, un ouvrage emblématique d’Arvida reconnu dans le monde entier.
L’historien Alex Hubert nous présente l’histoire du premier pont de cette taille entièrement fabriqué en aluminium, envisagé comme une démonstration des applications civiles de ce métal au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
L’animateur et chroniqueur de radio Simon Roy-Martel nous raconte une enfance heureuse à Arvida, au sein d’une communauté tissée serrée qui l’est demeurée. « En grandissant, comment ne pas se sentir fier de cette ville modèle unique au monde, de cette expérience sociale, d’urbanisme, industrielle? ». Avec humour, Simon assimile le créateur visionnaire d’Arvida Arthur Vining Davis comme un croisement entre Mr Monopoly et le père noël : un capitaliste certes, mais plein de bienveillance et investi d’une mission sociale.
Il énumère ses lieux incontournables : Le Carré Davis, « qui donne l’impression de rentrer dans une ville du Far West », la Poly Arvida et le Palace Arvida, créé en 1928 et récemment rénové, que nous présente l’historien Alex Hubert.